Pour respecter l’accord de Paris sur le climat, nous devons tendre vers une empreinte carbone moyenne de 1 à 2 tonnes par personne et par an. Or un vol entre Toulouse et New-York ce sont 2 tonnes d’équivalent CO2 par passager envoyées dans l’atmosphère. Le budget carbone de toute une année qui part en fumée en quelques heures. A l’échelle individuelle, rien de plus puissant pour le climat que de refuser un vol long-courrier.
En savoir plus sur les liens entre secteur aérien et dérèglement climatique.